mardi 27 octobre 2009

Séance du 13 octobre 2009

Jardins Secrets

par M. Charly Meyer


Une des galeries pour les visiteurs








Le Jardin Andalou








A la campagne








Chez l'Apothicaire








M. Charly Meyer nous entraîne dans la découverte d’une curiosité proche de Genève, les « Jardins Secrets » d’Alain et Nicole Moumen dans le hameau de Lagnat, 74150 Vaulx, (www.jardins-secrets.com), à quelques dizaines de kilomètres de Genève. Commencés en 1980 par l’achat et la transformation progressive d’une vieille ferme, sise sur un domaine de 7000 m2 , les travaux menés par les deux propriétaires conduisent à la reconstruction progressive des dépendances et à la transformation de la maison principale en une succession de chambres et de jardins, tous plus impressionnants les uns que les autres par l’abondance des décorations et des meubles, créés et réalisés sur place. La promenade à travers les jardins, les cours fleuries et les chambres décorées par thèmes (le Jardin du Curé, Chez l’Apothicaire, etc.) est un véritable enchantement. Inspirés par l’Andalousie, le Proche-Orient ou simplement la région, tous permettent de mesurer la vigueur du travail fourni et l’habilité des créateurs et décorateurs « maison ». Une vraie découverte, et un coup de coeur que M. Charly Meyer a très bien su nous faire partager.


Portraits de villes : Beyrouth

par M. Jean-Marc Meyer


Sur la Corniche de Manara








L'Avenue Charles Malek à Achrafieh








La Grande Mosquée Al Amine,
sur la place des Martyrs








L'immeuble Barakat, emblématique

de la violence des combats sur la

"ligne verte" qui séparait la ville

pendant la guerre du Liban





L'accueil chaleureux des habitants

de Bourj Hammoud, le quartier arménien








Pour le premier de cette série de portraits de villes, M. Jean-Marc Meyer a présenté les divers caractères de Beyrouth, une ville encore marquée par les séquelles de la longue guerre de 1975 à 1990, mais qui renaît vigoureusement. Les communautés marquent de leur empreinte les divers quartiers de la ville, notamment par la construction (ou la reconstruction) d’édifices religieux qui contribuent à affirmer leur présence. En se promenant de quartier en quartier on en découvre les traits caractéristiques, mais on voit aussi un peu partout les meurtrissures d’un passé douloureux. Après la Révolution du Cèdre du printemps 2005, qui amena le retrait des troupes syriennes de tout le pays, plusieurs assassinats politiques ont encore eu lieu, une nouvelle guerre en 2006 et de nombreuses manifestations ont secoué durement la population – pour enfin arriver à une période d’apaisement où la joie de vivre éclate à nouveau de partout. Mais ce sont les Beyrouthins, surtout, si divers et pourtant si fortement Libanais, qui rendent cette ville si attachante.


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